mardi 26 novembre 2013

Domingo acrobático

Bonjour tout le monde!
Dimanche matin, après un passage au marché avec Hugo et Pato, où nous avons fait la découverte des oranges-miniatures-venues-de-Chine (référence cachée pour Matteo et les playmobils), et être restée dans le parc à lire L'histoire de l'amour (qui est, je trouve, un très mauvais titre pour un excellent roman), nous nous sommes tous rejoints pour une séance de slackline.

Qu'est-ce que la slackline? Je crois vous avoir déjà raconté, mais pour les retardataires pressés, c'est une corde plate que l'on tend entre deux arbres et sur laquelle il faut tenter de marcher en équilibre, et plus si affinités! Lors de ma première tentative dans la montagne, je n'avais pas réussi du tout. Lors de la deuxième au Cerro San Cristobal: révélation, je réussis à monter seule et faire trois pas. Dimanche au parc: sept pas! Mais les jambes et la concentration fatiguent vite. 

Après nous être installés (j'ai eu le temps d'aller chercher une glace avec Louis le temps que Pato décident quels arbres utiliser), nous avons rapidement été rejoints par le Russe que nous avions rencontré dimanche passé au Cerro San Cristobal. Il avait lui aussi sa slackline. Mais c'est lorsqu'un américain et deux chiliens ont débarqué et accroché leur slack entre les nôtres, à un bon mètre et demi du sol, que le véritable show a commencé. Leurs sauts sur la corde, les saltos pour en sortir, tout a attiré un public de plus en plus large. Après avoir regardé pendant plus d'une heure, certains n'ont pas hésité, petits et grands, à demander à essayer. Je ne suis pas certaine, mais vous allez me dire que je suis pessimiste, que c'est ce qui ce serait passé à Paris (ou ailleurs). Nous avons donc pu faire plein de rencontres. 

Tandis que j'attendais mon tour, et vu que la nuit commençait à tomber, je suis partie chercher mes bolas, et c'est au rythme d'un groupe de percussions africaines, et accompagnée de leurs danseuses, que j'ai commencé la soirée. J'ai aussi été la seule débutante (et je suis vraiment catastrophique) à oser monter sur la slackline des pros, bien plus haute et impressionnante, mais finalement pas plus compliquée! 

Plus tard, lorsque la nuit est tombée, un acrobate américain nous a proposé une séance de yoga, qui a été extrêmement relaxante. C'est une mode que j'aime bien, je m'inscrirai peut-être à des cours. 


On ne voit pas bien, mais il y a en fait trois slacklines installées en zigzag!

Pato et sa plus grande fan!

Shane l'américain, un vrai professionnel.
Assis, c'est encore plus compliqué!

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