Ici les cannellonis sont rellenos de maïs. C'est plus costaud que la ricotta. Je vois venir les kilos en trop.
On plane au-dessus d'une étendue de montagne enneigées. Ca y est, c'est l'hiver, où sont passées les sandales et le gang des vestes kakis?
Quelques points de lumière dans une vallée, il y a des gens aussi perdus que courageux, pour vivre là.
Tout d'un coup, fin des montagnes, c'est net et abrupt. On atterit dans dix-neuf minutes. Je resterais bien encore un peu dans ce moment paralysé, dans le silence religieux du vol Iberia à destination de Santiago. Allez Anaïs, une grande inspiration, on annonce la descente.
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